Influencée dès sa tendre enfance par la chanteuse togolaise Bella Bellow (1945-1973), dont elle connaît tout le répertoire, Bella Lawson commence à interpréter des chansons dès l’âge de 11 ans. Elle chante les titres des Ivoiriennes Aïcha Koné et Monique Séka, ainsi que ceux de Félix Boccovi, pour le plus grand plaisir de sa famille et de ses amis.
En 1992, Bella s’installe en France, où elle commence sa carrière professionnelle dans la musique. En 1996, elle interprète en playback des chansons de Monique Séka et commence à composer ses propres morceaux. Son talent attire l’attention du groupe Bana Marseille, un ensemble de soukouss, dont elle devient la choriste, tournant dans tout le sud de la France. En 1997, elle rejoint le groupe Tropic Show de Francis Yaoundé en tant que choriste.
En 1999, Bella Lawson sort son premier single, « Koami », qui la fait connaître au public togolais. Le succès de ce single lui permet de participer à la tournée nationale « Caravane Fine », aux côtés d’artistes comme King Mensah, Laurence Montehocte, Joé-Kou et Ali Bawa. Depuis 2000, Bella anime de nombreuses soirées dans les discothèques de plusieurs villes françaises, notamment Marseille, Avignon, Lyon, Montpellier et Paris, et tourne également en Afrique et en Europe.
En 2004, elle sort son album « Lom Nava », arrangé par l’incontournable musicien ivoirien Bamba Yang, consolidant sa position sur la scène musicale.
Bella a reçu plusieurs prix pour ses contributions artistiques et musicales, reconnaissant son talent unique et sa capacité à toucher les cœurs à travers ses diverses formes d’art.
Prix :
Artiste belge d’origine congolaise, née à Kinshasa et adoptée à l’âge de 2 ans par un couple belge, Germaine Kobo crée en 2009 le groupe Aquarelle intime, entre rock et chansons. En 2013, elle sort l’album Lombe suivi du single Rhinocéros en 2016 et de l’EP Moundele (blanche en lingala) en 2017 aux sonorités électro. Avec Bella Lawson, jeune chanteuse percussionniste d’origine togolaise, elles créent un duo de choc vocal et instrumental (Kalimba, percussions africaines, calebasses, kamélé n’goni, balafon) et un style afro-électro qu’elles définissent comme de l’afro punk tribal.